Visite de "lettres vivantes" en Ouganda
du 27 octobre au 2 novembre 2008 Pour en savoir plus
Dans les rues de Gulu
Avec ses rues bondées de moto-taxis chargées de passagers et de marchandises, Gulu, au nord de l'Ouganda, semble aussi pacifique que n'importe quelle petite ville africaine. Mais ses habitants ont dû s'efforcer d'accepter la longue histoire des crimes horribles commis durant 22 ans de guerre civile.
Une mère portant son bébé sur une route à l'extérieur de Gulu
On a affirmé à l'équipe de Lettres vivantes que la circulation des personnes est "très libre" aujourd'hui en comparaison de la situation qui existait avant les négociations de paix, lorsque les gens ne pouvaient guère se hasarder à plus de quelques mètres des camps pour personnes déplacées.
Kioni Mbari, membre kenyan de l'équipe des Lettres vivantes, avec des enfants étudiant à l'école catholique de Gulu.
Audition publique sur le rôle des communautés religieuses dans la consolidation de la paix
George Hazou, membre jordanien de l'équipe de Lettres vivantes, a parlé de la situation des réfugiés irakiens et palestiniens au Moyen-Orient, lors d'une audition publique à laquelle participaient des responsables politiques, religieux et culturels, ainsi que des représentants d'organisations de la société civile et d'agences gouvernementales.
Les membres de l'équipe qui s'est rendue en Ouganda du 27 octobre au 2 novembre
De gauche à droite: Fredrick Nzwili, journaliste; Janejinda Pawadee, Conférence chrétienne d'Asie; Timotheus Kamaboakai, Alliance universelle des Unions chrétiennes de jeunes gens; Semegnish Afsaw, COE; Mbari Kioni, Conférence des Eglises de toute l'Afrique; Sydia Nduna, COE; pasteur Keith Briant, Conseil national des Eglises d'Australie; George Hazou, Conseil des Eglises du Moyen-Orient; chanoine Joseph Oneka, Conseil chrétien uni d'Ouganda, coordinateur local.
All photos © Semegnish Asfaw/WCC
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